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Le travail intense des représentants au niveau des commissions parlementaires et des séances plénières a contribué à l'amélioration du projet de loi de finances 2018 (communiqué)

Le travail intense des représentants, au niveau des commissions parlementaires et des séances plénières, a contribué à l'amélioration du projet de loi de finances 2018, à travers les propositions d'amendement ayant eu un impact positif sur ledit projet, indique la Chambre des représentants dans un communiqué.

Les députés, qui ont approuvé le projet de loi lors d'une séance plénière, tenue le 17 novembre, par 180 voix pour, 53 contre et 29 abstentions, ont présenté des propositions de nature sociale, portant sur le soutien des efforts gouvernementaux visant notamment à promouvoir les conditions sociales et le développement humain, à répondre aux besoins de certaines catégories sociales par le biais de dispositions visant l'amélioration de la situation des enfants laissés pour compte, ajoute le communiqué.

Au niveau économique, le projet de loi de finances 2018 a connu des amendements positifs proposés par les parlementaires, à l'instar des mesures visant l'encouragement de la création et l'augmentation du capital des sociétés et des groupements d'intérêt économique (GIE), outre pour ce qui est de l'Agence marocaine de développement des investissements et des exportations, ainsi que les propositions présentées au profit des entreprises industrielles exportatrices et la stimulation de la contribution au capital des entreprises nouvellement créées dans le domaine des technologies modernes.

La valeur ajoutée par les députés lors de l'examen du projet s'est aussi traduite par l'adoption d'un nombre de procédures touchant les coopératives, les associations de logement et l'entreprise, la relation entre l'administration fiscale et les débiteurs, ainsi que certaines propositions au profit des communes et les mesures à même de renforcer le soutien financier pour le fonds de solidarité interrégionale.

La Chambre avait tenu 4 séances plénières qui ont duré environ 22 heures, dédiées à l'examen et au vote de ce projet dans une première lecture, rappelle la même source.

L'examen a nécessité également environ 400 heures de travail, au cours desquelles la participation se situait entre 70 et 80 pc, selon la même source qui note que le projet a connu une profonde contribution parlementaire à la fois au niveau des débats et dans le cadre de la contribution des députés à travers des propositions d'amendement (220), dont 47 pc ont été répartis entre la majorité et l'opposition.

(MAP)